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PENSER L’ÉTHIQUE AVEC LES HUMANITÉS

C’est un lieu commun que de souligner les dangers d’une science sans conscience pour ouvrir une réflexion sur la question de l’éthique dans le domaine de la recherche. Les prémices de la science moderne qui prétendait rendre compte d’une connaissance exacte du monde, s’accompagnaient déjà de l’ex- pression d’une nécessaire mesure au savoir, d’un jugement moral sur le bien, le bon et le juste. La nature de cette inquiétude relevait bien sûr du rapport à la foi et à la religion.
Force est de constater la prégnance particulière de cette nécessité dans notre monde. Notre espace, que ce soit dans la recherche, dans l’entreprise, dans l’environnement, en politique, semble saturé par la question de l’éthique. Cette saturation révèle, pour- tant, une inquiétude bien différente, et signe un ébranlement de la « valeur progrès » et de la perte de confiance dans la raison humaine.
L’utilisation imprécise du lexique - morale, éthique, intégrité scientifique et déontologie - et de notions certes connexes mais reposant sur des fondements et des principes différents, rend également compte d’une difficulté.
Il s’agit d’inviter l’ensemble de notre communauté scientifique à s’engager dans une véritable réflexion qui se doit d’être pluridisciplinaire car c’est de la mise en crise de certaines réflexions et pratiques opérée par les Humanités, ou précisément de la force critique de ces Humanités que doivent naître les fondements d’un travail sur l’éthique. La réflexion éthique est par essence ouverture à la différence et si elle est fondamentalement personnelle, en ce qu’elle renvoie aux valeurs qui nous fondent chacun, elle ne peut que s’articuler à l’autre. Nous postulons que la force de proposition des Humanités consiste à interroger cet horizon moral de l’éthique qui semble affecter la vision contemporaine de ce qu’est la vie bonne.


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PENSER L’ÉTHIQUE AVEC LES HUMANITÉS

C’est un lieu commun que de souligner les dangers d’une science sans conscience pour ouvrir une réflexion sur la question de l’éthique dans le domaine de la recherche. Les prémices de la science moderne qui prétendait rendre compte d’une connaissance exacte du monde, s’accompagnaient déjà de l’ex- pression d’une nécessaire mesure au savoir, d’un jugement moral sur le bien, le bon et le juste. La nature de cette inquiétude relevait bien sûr du rapport à la foi et à la religion. Retour ligne automatique
Force est de constater la prégnance particulière de cette nécessité dans notre monde. Notre espace, que ce soit dans la recherche, dans l’entreprise, dans l’environnement, en politique, semble saturé par la question de l’éthique. Cette saturation révèle, pour- tant, une inquiétude bien différente, et signe un ébranlement de la « valeur progrès » et de la perte de confiance dans la raison humaine. Retour ligne automatique
L’utilisation imprécise du lexique - morale, éthique, intégrité scientifique et déontologie - et de notions certes connexes mais reposant sur des fondements et des principes différents, rend également compte d’une difficulté. Retour ligne automatique
Il s’agit d’inviter l’ensemble de notre communauté scientifique à s’engager dans une véritable réflexion qui se doit d’être pluridisciplinaire car c’est de la mise en crise de certaines réflexions et pratiques opérée par les Humanités, ou précisément de la force critique de ces Humanités que doivent naître les fondements d’un travail sur l’éthique. La réflexion éthique est par essence ouverture à la différence et si elle est fondamentalement personnelle, en ce qu’elle renvoie aux valeurs qui nous fondent chacun, elle ne peut que s’articuler à l’autre. Nous postulons que la force de proposition des Humanités consiste à interroger cet horizon moral de l’éthique qui semble affecter la vision contemporaine de ce qu’est la vie bonne.


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PENSER L’ÉTHIQUE AVEC LES HUMANITÉS

C’est un lieu commun que de souligner les dangers d’une science sans conscience pour ouvrir une réflexion sur la question de l’éthique dans le domaine de la recherche. Les prémices de la science moderne qui prétendait rendre compte d’une connaissance exacte du monde, s’accompagnaient déjà de l’ex- pression d’une nécessaire mesure au savoir, d’un jugement moral sur le bien, le bon et le juste. La nature de cette inquiétude relevait bien sûr du rapport à la foi et à la religion. Retour ligne automatique
Force est de constater la prégnance particulière de cette nécessité dans notre monde. Notre espace, que ce soit dans la recherche, dans l’entreprise, dans l’environnement, en politique, semble saturé par la question de l’éthique. Cette saturation révèle, pour- tant, une inquiétude bien différente, et signe un ébranlement de la « valeur progrès » et de la perte de confiance dans la raison humaine. Retour ligne automatique
L’utilisation imprécise du lexique - morale, éthique, intégrité scientifique et déontologie - et de notions certes connexes mais reposant sur des fondements et des principes différents, rend également compte d’une difficulté. Retour ligne automatique
Il s’agit d’inviter l’ensemble de notre communauté scientifique à s’engager dans une véritable réflexion qui se doit d’être pluridisciplinaire car c’est de la mise en crise de certaines réflexions et pratiques opérée par les Humanités, ou précisément de la force critique de ces Humanités que doivent naître les fondements d’un travail sur l’éthique. La réflexion éthique est par essence ouverture à la différence et si elle est fondamentalement personnelle, en ce qu’elle renvoie aux valeurs qui nous fondent chacun, elle ne peut que s’articuler à l’autre. Nous postulons que la force de proposition des Humanités consiste à interroger cet horizon moral de l’éthique qui semble affecter la vision contemporaine de ce qu’est la vie bonne.


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PENSER L’ÉTHIQUE AVEC LES HUMANITÉS - LA DONNÉE DANS TOUS SES ÉTATS : ENTRE CONTRAINTES ET AUTONOMIE

Cette édition d’EthicHum 2022 a pour ambition de penser l’expérience professionnelle et humaine qu’est le Doctorat et de situer cette expérience dans la dynamique de la recherche locale, nationale et internationale.

La nouvelle édition de l’école d’été EthicHum des Écoles doctorales 58 et 60 se propose de réfléchir en 2022 au Doctorat en tant qu’expérience privilégiée en matière de construction du savoir. Cette métaréflexion s’intéressera plus particulièrement aux données sur lesquelles repose tout travail de thèse.
Dans le domaine des Sciences Humaines et Sociales, la spécificité des données, leur conception, leur recueil, leur organisation, leur archivage, leur diffusion, ou encore leur partage, tout comme leur réutilisation sont autant de sujets clés à aborder pour contextualiser la construction du savoir et ses enjeux. Il s’agira en outre d’inscrire les données dans un cadre éthique et déontologique, de comparer les pratiques en matière de données dans les
différentes disciplines représentées au sein de nos Écoles doctorales et de réfléchir à la manière dont les données participent à la construction du
rapport du doctorant à la science et à la société. À l’heure où les modalités de traitement des données sont soumises à des injonctions diverses (scientifiques, institutionnelles, entrepreneuriales, politiques et éthiques), il est nécessaire de s’interroger sur la façon dont le jeune chercheur concilie ces contraintes avec l’autonomie que réclame tout travail de recherche novateur.


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Le groupe OALR, en partenariat avec la CIST Agropolis et la MSH-Sud, vous invite à participer à la journée "Être vu pour être lu : l’open access pour renforcer votre identité numérique de chercheur", qui se tiendra le mercredi 14 novembre 2018 dans les locaux de la Comue LR-Universités.

Au programme de la matinée, des conférences et une table ronde autour des thématiques de l’identité numérique et de l’open access. Puis l’après-midi, des ateliers pratiques sur les identifiants chercheur (IdHAL, ORCID, Google Scholar Citation).


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L’association NSS-Dialogues se propose de multiplier les occasions d’échanges et de confrontations entre disciplines (et tout particulièrement entre sciences de la nature et sciences sociales), entre points de vue, entre partenaires sociaux concernés.


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Né de l’association entre Lise Verlaet (LERASS-Céric) et la MSH SUD, NumeRev est un projet de portail interdisciplinaire de ressources scientifiques numériques qui se donne notamment pour mission d’être un incubateur scientifique et un vecteur privilégié de science ouverte (open science ou open research).


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Projet de plateforme d’appui à la recherche et laboratoire critique et réflexif dédiés au recueil et à la contextualisation de la parole des acteurs.


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Dans nos sociétés contemporaines, les sciences et les techniques conditionnent nos façons de voir et de savoir. Climat, données numériques, santé, biodiversité, démocratie, développement, économie, arts, patrimoines… sont autant d’exemples de domaines qui mobilisent les citoyens à l’interface Sciences-Société. Réalité aussi riche que complexe, ces interactions entre le monde de la recherche, les citoyens, les associations, les entreprises, ou encore les élus impliquent de forts enjeux sociaux, environnementaux, et plus globalement éthiques. Véritable champ d’innovation, elles demeurent cependant mal connues et traversées par des lignes de tension. Les Assises Sciences-Sociétés de juillet 2017 réuniront tous ces acteurs afin d’accroitre la visibilité de leurs actions, identifier les obstacles et les pistes de solution pour un dialogue constructif entre savoirs d’origine différentes, développer des coopérations équilibrées, et renforcer ainsi le rôle de l’innovation dans le progrès social.


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Les relations Sciences – Sociétés font l’objet de débats d’actualité dans différentes arènes, par exemple celles organisées par l’Alliance Science-Société (ALLISS) ou les associations Sciences Citoyennes et Natures-Sciences-Sociétés Dialogues.

A travers ces débats, des organisations de la société civile revendiquent un meilleur accès au dispositif de recherche publique français ainsi qu’une reconnaissance de leur contribution à la production de connaissances. De l’autre côté du spectre, les chercheurs et leurs tutelles sont de plus en plus nombreux à interroger le rôle social de la recherche et à considérer les méthodologies de la co-construction d’une recherche à l’interface entre ESR et acteurs de terrain.

L’Occitanie de l’Est (académie de Montpellier) héberge une vaste communauté scientifique tout particulièrement spécialisée dans l’étude du vivant et touchant également à de nombreuses autres thématiques de recherche, disposant de nombreux partenaires (identifiés ou potentiels) dans le reste de la société. Le site académique est également pilote dans le domaine de l’ouverture de la recherche à la société.

“Recherche en société” est donc un cycle de conférences-débats mixant présentiel et distanciel, et dont le 1er rendez-vous traitera du sujet “Science et défiance”.

En savoir plus : https://www.mshsud.org/la-diffusion/recherche-en-societe


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